C'est ici que tout a commencé...
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Les traits de l'éléphant d'Afrique, symbole de la noblesse, de la force et de la démesure qui furent à l'origine de notre histoire. L'éléphant c'est le retour d'Afrique… Laissez-nous vous conter cette histoire…
1845, Philippe de Rocca Serra, part de son île à la conquête de l'Afrique : il y exerce son métier d’avocat et de conseiller financier pour différentes familles richissimes, en différents pays, son périple s’achève en Egypte, où il entre, quelque peu en « conquérant », à dos d’éléphant.
Après plusieurs années au service de la famille royale d'Égypte dont il est l'avocat, et après avoir acquis la fortune dont il avait besoin, il revient en Corse pour y accomplir son rêve : établir le plus exemplaire des domaines agricoles qui mettrait en valeur le meilleur de son île, longtemps si loin de lui, et si chère à ses yeux…
Chez lui, dans la Vallée de l'Ortolo, il entreprend alors un chantier « pharaonique » : ce sont 100 hectares de vigne qu'il fait planter, des cépages corses uniquement, contre l'avis de tous; des oliviers à perte de vue, un verger d'agrumes et d'arbres fruitiers, du bétail dans les prairies… une cave, des dépendances pour y loger tous les corps de métier, bref… le Grand Jardin, l’Ortolo, comme le contaient les Sumériens…
Plus d’une centaine d’ouvriers viennent chaque jour des villages voisins pour travailler à la vigne. Le domaine est ainsi un facteur d'expansion économique et démographique pour la micro-région.
Ainsi est né le Domaine Saparale, une manière d’inventer son époque et de créer ce qui deviendra un des grands domaines classiques aujourd’hui.
Pour ses vins, Philippe de Rocca Serra va à contre-courant des tendances de l'époque et choisit des variétés locales plutôt que des cépages à forte production : le vin de Saparale acquiert vite une renommée nationale et obtient une médaille d'Or en 1900. Malheureusement, le phylloxéra s'abat sur la vallée et le vignoble doit repartir de zéro. L’évolution des conditions socio-économiques, un banditisme local déjà actif ainsi que les désordres de la guerre provoquent le déclin du domaine. Le domaine résistera fièrement jusqu'à la fin des années 20.
Pendant 60 ans, l'histoire a œuvré plongeant le domaine dans un demi-sommeil, la nature tachant de reprendre ses droits. En 1995, une impulsion nouvelle, donnée par Philippe Farinelli et ce sont les bâtiments un après l'autre qui reviennent à la vie, et la vigne redevient plus belle que jamais…
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1845, Philippe de Rocca Serra, part de son île à la conquête de l'Afrique : il y exerce son métier d’avocat et de conseiller financier pour différentes familles richissimes, en différents pays, son périple s’achève en Egypte, où il entre, quelque peu en « conquérant », à dos d’éléphant.
Après plusieurs années au service de la famille royale d'Égypte dont il est l'avocat, et après avoir acquis la fortune dont il avait besoin, il revient en Corse pour y accomplir son rêve : établir le plus exemplaire des domaines agricoles qui mettrait en valeur le meilleur de son île, longtemps si loin de lui, et si chère à ses yeux…
Chez lui, dans la Vallée de l'Ortolo, il entreprend alors un chantier « pharaonique » : ce sont 100 hectares de vigne qu'il fait planter, des cépages corses uniquement, contre l'avis de tous; des oliviers à perte de vue, un verger d'agrumes et d'arbres fruitiers, du bétail dans les prairies… une cave, des dépendances pour y loger tous les corps de métier, bref… le Grand Jardin, l’Ortolo, comme le contaient les Sumériens…
Plus d’une centaine d’ouvriers viennent chaque jour des villages voisins pour travailler à la vigne. Le domaine est ainsi un facteur d'expansion économique et démographique pour la micro-région.
Ainsi est né le Domaine Saparale, une manière d’inventer son époque et de créer ce qui deviendra un des grands domaines classiques aujourd’hui.
Pour ses vins, Philippe de Rocca Serra va à contre-courant des tendances de l'époque et choisit des variétés locales plutôt que des cépages à forte production : le vin de Saparale acquiert vite une renommée nationale et obtient une médaille d'Or en 1900. Malheureusement, le phylloxéra s'abat sur la vallée et le vignoble doit repartir de zéro. L’évolution des conditions socio-économiques, un banditisme local déjà actif ainsi que les désordres de la guerre provoquent le déclin du domaine. Le domaine résistera fièrement jusqu'à la fin des années 20.
Pendant 60 ans, l'histoire a œuvré plongeant le domaine dans un demi-sommeil, la nature tachant de reprendre ses droits. En 1995, une impulsion nouvelle, donnée par Philippe Farinelli et ce sont les bâtiments un après l'autre qui reviennent à la vie, et la vigne redevient plus belle que jamais…